Le Consulat Général de France à Jérusalem subventionne des organisations palestiniennes radicales
Le 15 avril 2018, l’ONG palestinienne Burj Al-Luqluq a organisé « La Coupe du monde des Consulats de Jérusalem », un tournoi de football regroupant « 14 équipes européennes et palestiniennes », dont celle du Consulat Général de France à Jérusalem (CGF).
Cet évènement sportif fut sponsorisé par le CGF, qui affirme soutenir financièrement l’organisation palestinienne depuis 2011 pour « la mise en place d’activités extrascolaires et récréatives à destination des jeunes défavorisés. »
Burj Al-Luqluq s’est distinguée ces dernières années pour ses projets incitant à la violence et honorant des terroristes, alors même qu’elle bénéficiait des subventions du CGF :
- En 2012, Palestinian Media Watch (PMW), un observatoire israélien qui expose et documente l’incitation sur les médias Palestiniens, révéla que Burj Al-Luqluq organisa un spectacle de marionnettes à Jérusalem-Est, faisant la promotion de l’antitabac. Lors de ce spectacle, les marionnettes enjoignirent aux enfants « de remplacer les cigarettes par des mitrailleuses. » Une des marionnettes ajouta : « Je voulais me tenir devant le public et chanter pour Jérusalem, qui nous est privée. Jérusalem, dont les jeunes sont tués par les Juifs, pour chanter et dire : Jérusalem, nous arrivons, Jérusalem, l’heure de la mort est arrivée. Jérusalem, nous ne nous rendrons pas aux ennemis, ni ne nous humilierons. »
- En 2014, selon ce même PMW, Burj Al-Luqluq accueilla un tournoi de football au nom du terroriste palestinien Abu Jihad (responsable de plusieurs attaques terroristes en Israël, y compris le « massacre de la route côtière » qui coûta la vie de 35 civils israéliens, dont 13 enfants) et organisa un autre tournoi en l’honneur du terroriste Ibrahim Al-Akari qui assassina deux civils israélien dans une attaque à Jérusalem en novembre 2014.
Le CGF ne publie pas la liste des ONG qu’il subventionne dans le cadre de son « appui aux initiatives humanitaires et de promotion des droits de l’Homme » et du « programme Projets Innovants des Sociétés civiles et Coalitions d’Acteurs (PISCCA)», reflétant ainsi un manque de transparence et de responsabilité.
Malgré cette « opacité », quelques bribes d’information indiquent que le CGF a soutenu financièrement des organisations palestiniennes problématiques ces dernières années. Parmi celles-ci, l’Union of Agricultural Work Committees et l’Union of Palestinian Women Commitees, deux ONG palestiniennes affiliées, selon le Fatah et l’Institut des études palestiniennes respectivement, au Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), une organisation terroriste reconnue comme telle par les États Unis, l’UE, et Israël.